C’est une discussion parmi les décisionnaires :
Certains diront comme le Pitre Teshouva que c’est comme un Talit qu’on enlève pour en mettre un autre, on fera la bénédiction.
Ou comme le Maguen Avraham qui représente ça comme celui qui va d’une souqua à celui de son ami, d’après les Ashkénazim on fera la bénédiction.
Mais d’autres comme le Yabia Omer 3;17 du Rav Ovadia Yossef dit qu’on ne fera pas de bénédiction si dans la maison il y a d’autres mezouzot.
Et certains d’expliquer que c’est comme celui qui a le Talit sur lui et change les tsitsit car ce n’est pas la mezouza qui oblige le propriétaire de la mettre dans la maison mais bien la maison qui « oblige » à poser une mezouza, et donc on ne fera pas de bénédiction.
Conclusion : D’après le Pitre Shearim, on dora quand même la phrase en la replaçant : Berikh Ra’hama Meeriya Dealma Hakadosh Baroukh Ou al Keviout Mezouza.
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